Cette décision, dont la municipalité de Quito a fait appel, se fonde sur un article de la Constitution équatorienne qui reconnaît les droits des éléments naturels, en particulier de la rivière Machángara. Un tribunal équatorien a jugé que la pollution violait les droits de la rivière Machángara à Quito, la ville étant à l'origine d'une pollution importante. La rivière est fortement polluée par des eaux usées non traitées, ce qui affecte la vie aquatique. La décision impose à Quito d'élaborer un plan de nettoyage de la rivière, les groupes de défense de l'environnement espérant que la rivière sera plus propre et plus saine. Cette décision est historique et constitue un pas en avant dans la protection de cette rivière vulnérable.