Le numérique a changé nos vies de manière significative au cours des vingt dernières années, avec un examen des avantages et des inconvénients du low tech. Le numérique a profondément changé nos vies, avec Marcello Vitali-Rosati encourageant à célébrer les bugs informatiques comme une forme de résistance. Il souligne que malgré les promesses de liberté des grandes entreprises technologiques, nous devenons dépendants de leurs produits. Les technologies éliminent le hasard de nos vies et les entreprises cherchent à augmenter la productivité en nous rendant dépendants de leurs technologies.
Le numérique et notre liberté
Le philosophe Marcello Vitali-Rosati parle du rôle du numérique dans nos vies. Il dit que malgré les promesses de liberté des grandes entreprises technologiques, nous devenons en réalité dépendants de leurs produits. Il encourage à accepter les bugs informatiques pour se libérer de cette dépendance et de la pression de productivité imposée par les géants de la technologie.
Les impacts du numérique sur nos vies
Le numérique a pris une place centrale dans nos vies, avec les smartphones collectant nos données personnelles et les algorithmes prenant des décisions à notre place dans divers domaines comme les rencontres amoureuses, la musique, les films, les trajets, et les études. Marcello Vitali-Rosati souligne que ces technologies éliminent le hasard qui peut rendre nos vies plus intéressantes.
La critique de la vision du monde des GAFAM
Les grandes entreprises technologiques comme Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM) promettent de nous libérer de certaines tâches en utilisant leurs services, mais Marcello Vitali-Rosati remet en question ces promesses. Il souligne que ces entreprises cherchent principalement à augmenter la productivité, en nous rendant dépendants de leurs technologies.
La résistance au numérique
Marcello Vitali-Rosati propose de célébrer les bugs informatiques comme une forme de résistance contre les abus de la technologie. Il encourage à contrôler mieux les outils numériques, à rechercher la complexité et à diversifier les modèles disponibles. Il souligne que les bugs peuvent parfois retourner contre les entreprises les objectifs des logiciels qu'elles programment.