L'article traite de la manière dont les entreprises d'eau embouteillée comme Nestlé utilisent des techniques de purification non autorisées pour compenser la contamination des sources d'eau, ce qui soulève des questions sur la propriété et le contrôle de l'eau. Alors que l'eau ne peut être possédée par des individus selon le code civil français, les entreprises peuvent posséder des sources d'eau et en exclure l'accès à d'autres. Le traitement de l'eau par les entreprises soulève des questions sur la propriété de l'eau et sur le fait de savoir si les entreprises vendent réellement de l'eau ou seulement des bouteilles en plastique. La présence de microplastiques dans l'eau embouteillée complique encore la question, en brouillant la distinction entre l'eau et la bouteille en plastique. L'article conclut que les entreprises se comportent comme des propriétaires de l'eau, ce qui met en lumière les préoccupations liées à la marchandisation de l'eau et la nécessité de la protéger en tant que bien commun.