La répression exercée dans les universités à l'encontre de ceux qui protestent s'inscrit dans une tendance plus large qui considère les universités comme des lieux de formation de travailleurs passifs, silencieux et conformistes pour l'économie capitaliste, plutôt que comme des espaces de libération dynamiques et remplis de débats. L'université est un lieu d'autonomie et de liberté politique pour les étudiants, mais elle a été attaquée par des organisations politiques cherchant à criminaliser les activités dans ses murs. Cette répression s'inscrit dans une dynamique plus large qui considère l'université comme un lieu de formation d'une main d'œuvre passive pour l'économie capitaliste. Il est essentiel de dénoncer ces attaques et de reconnaître l'université comme un espace d'émancipation et de citoyenneté, favorisant la démocratie et la formation intellectuelle par le biais de débats et de rencontres.